L’Etabli Film Séances Photos Avis L’Etabli De Mathias Gokalp 1h57 Tout public FR Synopsis Quelques mois après mai 68, Robert, normalien et militant d’extrême-gauche, décide de se faire embaucher chez Citroën en tant que travailleur à la chaîne. Comme d’autres de ses camarades , il veut s’infiltrer en usine pour raviver le feu révolutionnaire, mais la majorité des ouvriers ne veut plus entendre parler de politique. Quand Citroën décide de se rembourser des accords de Grenelle en exigeant des ouvriers qu'ils travaillent 3 heures supplémentaires par semaine à titre gracieux, Robert et quelques autres entrevoient alors la possibilité d'un mouvement social. Notre Avis Je réserve ma séance Voir la bande-annonce Réservez votre séance dès à présent en cliquant sur l'horaire voulu : Aucune séance cette semaine. VOST 3DSéance en 3D SNSortie Nationale Évènement Sam 2Samedi 2 décembreDim 3Dimanche 3 décembreLun 4Lundi 4 décembreMar 5Mardi 5 décembreMer 6Mercredi 6 décembreJeu 7Jeudi 7 décembreVen 8Vendredi 8 décembre Pour afficher l'ensemble des séances, veuillez cliquez sur le bouton ci-dessous : Afficher les séances Aucune séance ce jour-là Aucune séance ce jour-là Aucune séance ce jour-là Aucune séance ce jour-là Aucune séance ce jour-là Aucune séance ce jour-là Aucune séance ce jour-là Commander une place Oups... Une erreur est survenue ! L'Avis des Amis du Cinéma Mathias Gokalp revient en force pour explorer le monde du travail et ses rouages impitoyables en adaptant au cinéma le roman éponyme L’établi de Robert Linhart. Partant de ce témoignage édifiant, le réalisateur, pour mieux appréhender la réalité, consacre son récit à la force de l’engagement. Swann Arlaud endosse avec succès le costume de Robert Linhart. Découvrez aussi :
Synopsis Quelques mois après mai 68, Robert, normalien et militant d’extrême-gauche, décide de se faire embaucher chez Citroën en tant que travailleur à la chaîne. Comme d’autres de ses camarades , il veut s’infiltrer en usine pour raviver le feu révolutionnaire, mais la majorité des ouvriers ne veut plus entendre parler de politique. Quand Citroën décide de se rembourser des accords de Grenelle en exigeant des ouvriers qu'ils travaillent 3 heures supplémentaires par semaine à titre gracieux, Robert et quelques autres entrevoient alors la possibilité d'un mouvement social.